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Julie, une account executive au coeur de l’Ohana

Julie, une account executive au coeur de l'Ohana

Julie a rejoint l'équipe salesforce de Paris en septembre 2016. Depuis, elle a pu découvrir son poste, mais aussi l'esprit particulier qui règne chez Salesforce, l'Ohana. Rencontre.

Julie a rejoint l’équipe salesforce de Paris en septembre 2016. Depuis, elle a pu découvrir son poste, mais aussi l’esprit particulier qui règne chez Salesforce, l’Ohana. Rencontre.

Comment est-ce que l’aventure Salesforce a commencé ?

Mon aventure Salesforce a démarré sur la page « Carreer » du site internet de Salesforce, à la recherche de mon dreamjob. En parcourant quelques annonces, j’ai très vite porté mon choix sur un poste d’ « Account Executive Mid Market » et en quelques clics ma candidature était postée. J’ai tout de suite été impressionnée par la rapidité et la réactivité des équipes RH, quelques heures après ma candidature je recevais un e-mail pour une première prise contact par téléphone.

Comment se sont passées les phases de recrutement ?

« Humains et bienveillants » sont les adjectifs qui qualifieraient le mieux mes premiers échanges avec les équipes de recrutement. La transparence du processus de recrutement m’a notamment beaucoup plu, avec une réponse claire donnée après chaque étape. Au fil des entretiens, mon intérêt pour Salesforce a grandi et mon envie d’intégrer cette entreprise s’est confirmé… Et un peu moins de 2 mois après l’envoi de ma candidature sur le site internet, après 6 entretiens dont un en “panel”, je recevais un appel me confirmant mon embauche chez Salesforce !

Et celles d’intégration ?

Cela fait maintenant plus de deux ans que j’ai participé à ma journée d’onboarding avec les autres « new hires » du mois de septembre 2016. L’intégration et l’accueil étaient à l’image du processus de recrutement, l’équipe « Enablement » nous fait rapidement ressentir ce sentiment d’appartenance appelé chez Salesforce « Ohana ». Un buddy nous est désigné lors de notre arrivée. C’est lui qui nous sert de guide et même d’encyclopédie dès qu’une question se pose !

Les premières semaines sont organisées autour de la formation et l’intégration : réunion d’équipe, Bootcamp à San Francisco, team building, première mission de volonteer… Cela permet de monter en compétence rapidement tout en s’intégrant à toutes les équipes, de façon naturelle et sans vraiment s’en rendre compte, on prend les rennes de son poste.

Pourquoi avez-vous choisi de rejoindre Salesforce comme commerciale ?

Au-delà d’aimer les challenges ou le contact direct avec le client, j’aime m’occuper d’un compte sur des sujets transverses. Je préfère accompagner les clients dans leurs réflexions stratégiques. Être commerciale chez Salesforce, c’est justement cela : aller à la rencontre des métiers et des directions générales, entrer dans le business des clients et la compréhension de leurs enjeux. Nous sommes là pour réfléchir avec le client et avec les équipes étendues (Sales specialists, Ingénieur avant-vente) à des approches de transformation digitale tout en répondant à leurs enjeux stratégiques.

C’est cela votre routine commerciale ?

Non, car la routine n’existe pas. Il faut se renouveler à chaque nouveau projet et savoir faire preuve de créativité. Chaque deal est différent car chaque client est différent. L’offre Salesforce étant personnalisable, les propositions de valeur varient elles aussi. Il en découle une approche qui me plaît énormément : un Account Executive chez Salesforce ne vend pas des licences ou un produit, mais une vision et un conseil. Je trouve que cette agilité nécessaire rend le poste passionnant.

Comment s’organise votre activité commerciale en France ?

Je suis dans l’équipe commerciale mid-market en France, qui se compose d’une soixantaine de commerciaux répartis dans sept équipes. L’équipe commerciale est hétérogène, nous venons tous d’horizons différents : aussi bien de grands groupes concurrents de Salesforce que de petites start-ups françaises. Cette différence fait la richesse de notre Business Unit, nous sommes complémentaires et chacun apporte des idées et son expérience.

Et l’ambiance ?

Pour la résumer en 3 adjectifs : énergique, solidaire et sympathique ! L’entraide et la collaboration font partie des valeurs de notre équipe en France. Nous travaillons les uns avec les autres dans une atmosphère où règne la bonne humeur. Notre équipe est animée par la croissance, où l’envie de réussir ensemble est palpable. Cette énergie est communicative, les succès sont célébrés en équipe, et le travail de chacun est valorisé. Régulièrement des challenges sont organisés, ce qui ajoute une part de jeu et de “fun” sur le plateau.

Les équipes de management sont proches du terrain, et les managers de première ligne sont impliqués dans notre quotidien. Nous sommes appuyés et soutenus quand il le faut sur nos deals. Je pense pouvoir dire que nous sommes une belle équipe où il fait bon vivre, avec une énergie et un dynamisme semblable à une start-up au sein d’une multinationale.

Est-ce le bon moment de rejoindre Salesforce ?

Absolument ! Salesforce n’est pas seulement leader sur son marché, Salesforce devance son marché, et fait preuve d’une réactivité accrue. L’offre évolue en permanence, ce qui nous permet de nous positionner comme des précurseurs, nous sommes perçus comme des « trusted advisors » auprès de nos clients.

Salesforce évolue en permanence, et notre travail aussi. Nous sommes en formation constante. Nous nous remettons souvent en question, nous nous challengeons, nous apprenons des nouvelles offres, composons avec de nouveaux enjeux… C’est une chance de pouvoir travailler dans un environnement en perpétuelle mutation. Cette soif d’innovation est d’ailleurs transmise aux clients Salesforce, qui sont pour nous sacrés et au cœur de l’approche Salesforce. Les clients sont mis en avant, témoignent, échangent entre eux. Je ne connais aucun autre acteur qui dispose d’une telle relation avec ses clients.

Cet état d’esprit est important à vos yeux ?

Oui, et il n’est pas feint. C’est un ensemble cohérent avec des valeurs fortes qui dépassent le cadre des missions stricto sensu. Par exemple, le modèle philanthropique (modèle 1-1-1) nous permet de bénéficier de 7 jours par an pour nous engager dans des actions humanitaires. À titre personnel, je me suis investie dans le projet Lightforce, un projet initié il y a plus d’un an par deux salariés Salesforce avec Liter of Light. Liter of Light est une association internationale qui œuvre pour l’accès à la lumière auprès des populations vivant sans électricité. Nous avons décidé de mener une action avec eux au Kenya, dans un village Massai.

L’équipe Lightforce est composée de volontaires : des commerciaux, des ingénieurs avant-vente et de sales spécialistes, tous issus de différents services de chez Salesforce, mais aussi de clients partenaires ! Les équipes se sont organisées autour de domaines de compétences afin que chacun puisse apporter sa pierre à l’édifice : communication, logistique, technologie, levées de fonds, relations partenaires… Et après 8 mois de préparation, nous nous sommes envolés pour le Kenya en direction de ce village Maissai près de Aitong pour la première édition. Nous avons alors passé 6 jours avec les femmes du village à construire 300 lampes à panneaux solaires, tout en leur transmettant méthode et savoir-faire pour qu’elles puissent en construire encore davantage. Comme tous les matériaux sont achetés sur place, cela contribue à faire fonctionner l’économie locale, sert de complément de revenu tout en apportant lumière et espoir à la future génération. Pour la deuxième édition, Lightforce a pris de l’ampleur, avec 4 pays concernés : Brésil, Kenya, Sénégal et Philippines.

C’est ça, l’Ohana ?

Oui, du moins c’en est un des nombreux exemples. « Ohana » comme nous l’appelons chez Salesforce, c’est cet esprit de famille, cette solidarité, cette envie d’entreprendre ensemble et de transmettre. Je trouve incroyable de pouvoir vivre une expérience humaine aussi enrichissante dans son entreprise. En février 2019, Lightforce, c’était 3 équipes et 60 employés… Une belle croissance par rapport aux 16 de l’année précédente. Et l’année prochaine, 6 pays devraient bénéficier du programme. Les projets sont à la fois bienveillants et ambitieux, tant par leur croissance que dans leur impact, pour que ce ne soient pas que des moments philanthropiques, mais bien des actions aux répercussions efficaces et pérennes.

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