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Les développeurs, nouvelles victimes de la « Grande Démission » d'après le dernier rapport MuleSoft

Le dernier rapport MuleSoft, révèle que 89 % des entreprises en France ont désormais du mal à retenir leurs développeurs les plus qualifiés.

Paris le 4 maiMuleSoft, fournisseur de la plateforme leader d’intégration et d’API, présente les résultats de sa dernière enquête réalisée en collaboration avec le cabinet Vanson Bourne. Cette étude révèle que les entreprises font face à des difficultés pour attirer, fidéliser et retenir les développeurs qualifiés, indispensables à leur transformation numérique. Face à un besoin d’innovation toujours plus prononcé, cette pénurie de main d’œuvre qualifiée exerce une importante pression sur des équipes déjà surmenées et accroît le risque de démissions.

Les équipes informatiques, et en particulier les développeurs, sont au cœur des bouleversements qui secouent les entreprises en pleine transformation digitale. Pour mieux comprendre ce que traversent ces équipes et analyser les effets de ce phénomène sur les organisations, MuleSoft a réalisé une enquête internationale auprès de 600 DSI et responsables informatiques.

Les résultats mettent en lumière les difficultés auxquelles sont confrontées les organisations cherchant à séduire des développeurs qualifiés. La grande majorité (89 %) des personnes interrogées en France affirme que le phénomène de la « Grande Démission » a rendu cette tâche plus ardue pour leurs équipes, et 80 % confirment avoir éprouvé encore plus de difficultés à recruter de tels profils ces deux dernières années. 

« La demande en solutions numériques était déjà plus importante que l’offre de profils qualifiés dans le domaine du développement de logiciels avant la pandémie, mais ce décalage bat aujourd’hui tous les records. Et l’attrition provoquée par la “Grande Démission” creuse encore plus ce fossé », déclare Matt McLarty, global field CTO chez MuleSoft. « Pour mener leurs transformations, les organisations doivent respecter deux conditions : proposer des outils collaboratifs maximisant la productivité des développeurs ; et fournir au reste des équipes les outils leur permettant de prendre part à la conception de solutions numériques, et pas juste au listing des besoins. »
 

Des équipes de développement sous pression et soumis à des tâches répétitives

Avec cette pénurie de talents et la nécessité pour les entreprises d’accélérer leurs processus d’innovation, beaucoup de développeurs se retrouvent surchargés, ou partent à la recherche de nouvelles opportunités moins monotones.

  • Charges de travail accrues et accélération de la transformation numérique : des développeurs sous tension. Les principales causes de « burnout » sont liés à la transformation digitale (50 %), à la hausse de leur charge de travail et des demandes en provenance d’autres équipes (40 %), et le développement de nouvelles compétences afin de s’adapter à de nouvelles approches ou technologies (34 %).
  • L’apprentissage des architectures logicielles comme facteur aggravant : pour plus de trois quarts (74 %) des personnes interrogées, la charge cognitive liée à l’apprentissage de l’architecture de leurs logiciels est si importante qu’elle est source d’angoisse, et diminue la productivité des développeurs.
  • L’automatisation pour accroître leur rendement : 95 % des organisations affirment avoir besoin de solutions automatisant les processus clés, afin que leurs équipes de développement puissent augmenter leur productivité.
     

Convertir les business technologists en acteurs de l’innovation et de la création des applications grâce au low code no code

Compte tenu du contexte, les organisations sont conscientes qu’elles doivent faire en sorte que l’ensemble de leur personnel puisse soulager les équipes de développement d’une partie de leur charge de travail. La meilleure façon d’atteindre cet objectif est d’encourager les « business technologists », ces experts qui mettent la technologie au service du business, à se mettre en avant, car ils sont suffisamment compétents pour prendre une part plus active dans la transformation de leur entreprise tout en laissant les problématiques de sécurité et de contrôle entre les mains de l’IT. Ils peuvent disposer maintenant de technologies comme celles de Salesforce et MuleSoft capables de créer des applications métiers sans développer ou faisant appel à peu de ressources de codage : c’est ce que l’on appelle le Low code No Code. La plateforme Salesforce et les outils de MuleSoft ont été conçus dès le départ pour simplifier et limiter les besoins de codage, et peuvent donc être utilisés pour créer des applications simplement par paramétrage, ou en utiliser des ressources graphiques ou des composants métiers modèles réutilisables.

La majorité (70 %) des organisations ont déjà mis en œuvre des stratégies afin que ces individus puissent soutenir leur transformation, mais un certain nombre de défis subsistent :

  • Le manque d’automatisation et les silos de données freinent l’émancipation des business technologists : l’automatisation limitée des processus de développement logiciel (50 %), la gestion difficile des intégrations à travers plusieurs plateformes cloud sans compétences pécialisées (48 %), les silos de données (45 %), les problématiques de gouvernance et de sécurité (43 %), et l’accès limité à des outils légers (41 %) restent des freins à la hausse des experts qualifiés.
  • Les équipes métiers doivent pouvoir intégrer des applications et données : 85 % des organisations estiment que le fait de donner plus d’autonomie à davantage d’individus réduirait considérablement la pression pesant sur les épaules des développeurs, et accélérerait leurs transformations digitales

« L’industrie automobile n’aurait jamais connu un tel succès si toutes les voitures étaient construites exclusivement par des artisans », poursuit Matt McLarty. « Il a fallu diviser et répartir les tâches pour les rendre accessibles au grand public. Nous en sommes au même point dans le monde du logiciel. Il n’est pas raisonnable de laisser l’essentiel de la production à un pourcentage relativement faible du personnel : c’est à dire les équipes de développement. Il convient d’impliquer l’ensemble de l’organisation. Les outils low-code et technologies d’automatisation sont les solutions à ce problème, et ont déjà démontré leur impact positif sur les niveaux de satisfaction et de stress du personnel. »

Méthodologie de l’enquête

MuleSoft, a interrogé 600 responsables informatiques d’entreprises internationales en partenariat avec le cabinet Vanson Bourne. L’enquête a été menée en ligne en février 2022 aux États-Unis, au Royaume-Uni, en France, en Allemagne et en Australie. Seuls des candidats aux profils pertinents et validés à l’issue d’un processus de sélection complexe et rigoureux ont pu y prendre part. Tous les répondants travaillent dans des organisations du secteur public ou privé comptant au moins 1 000 salariés, et occupent des postes de (haute) direction au sein d’un service informatique.

À propos de MuleSoft, une filiale de Salesforce

Avec MuleSoft, fournisseur de la plateforme leader d’intégration et d’API, les entreprises peuvent décloisonner et intégrer leurs applications et données afin de créer plus rapidement des expériences connectées. Pour plus d’informations, rendez-vous sur mulesoft.com/fr.

À propos de Salesforce

Salesforce (NYSE : CRM), le leader mondial du CRM, aide les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs à opérer leur transformation numérique et à bénéficier de technologies puissantes leur offrant une vue à 360° de leurs clients : Web I Twitter I LinkedIn I YouTube

Pour plus d’informations, rendez-vous sur salesforce.com.

MuleSoft est une marque déposée de MuleSoft, Inc., filiale de Salesforce. Toutes les autres marques sont la propriété de leurs propriétaires respectifs.

L’équipe Rumeur Publique pour MuleSoft :

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Marion LARIVIERE | tél : 06 28 11 07 75 — marion.lariviere@rumeurpublique.fr
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